parece um excelente equipamentocoringa1 escreveu:Existe alguma intenção da Marinha ou do Exército em adquirir as suecas Combat Boats 90 ?
Aparentemente já foram testadas em território nacional , conforme mostra o video
Programa de Reaparelhamento da Marinha
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Re: Programa de Reaparelhamento da Marinha
Editado pela última vez por PQD em Sex Mai 28, 2010 10:21 am, em um total de 1 vez.
Cabeça dos outros é terra que ninguem anda... terras ermas...
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Re: Programa de Reaparelhamento da Marinha
Aparentemente não! Elas foram testadas, de fato, pelo EB na Amazônia.
Um abraço!
Fernando Augusto Terra
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Re: Programa de Reaparelhamento da Marinha
Cherbourg : DCNS lance la construction du premier sous-marin brésilien
[Partie avant d]
Partie avant d'un Scorpène réalisé à Cherbourg
crédits : DCNS
27/05/2010
C'est aujourd'hui, sur le site DCNS de Cherbourg, que débute la construction du premier des quatre sous-marins commandés en septembre 2009 par le Brésil. A l'instar de ce qui a déjà été fait pour les Scorpène chiliens et malaisiens, la moitié avant du bâtiment sera réalisée en France puis transférée dans un autre chantier pour achèvement. Il s'agira, en l'occurrence, du nouveau site de Sepetba, à l'ouest de Rio, où la construction d'un chantier et d'une base navale a récemment débuté avec le soutien de DCNS, qui compte une équipe sur place. Pour Cherbourg, le projet représente 1 million d'heures de travail. Une fois la partie avant du sous-marin achevée, c'est-à-dire fin 2012, elle traversera l'Atlantique à bord d'un cargo pour être assemblée à la moitié arrière, réalisée par les Brésiliens. On notera d'ailleurs que ce contrat comporte un transfert de technologie très poussé, des équipements sensibles traditionnellement fournis par DCNS étant réalisés localement. En tout, quelques 130 ingénieurs et techniciens brésiliens devraient suivre la construction à Cherbourg avant de poursuivre le programme de l'autre côté de l'Atlantique. Alors que le premier bâtiment doit être livré en 2017, ses trois sisterships, entièrement construits à Sepetba, sont prévus pour être achevés en 2018, 2020 et 2021.
Un type dérivé du Scorpène
Longs de 75 mètres pour un déplacement de 2000 tonnes en plongée, Les sous-marins brésiliens sont dérivés du type Scorpène, précédemment commercialisé en coopération par DCNS et Navantia. Pour satisfaire aux besoins de la marine brésilienne, la taille des nouveaux bâtiments est plus importante, soit environ 9 mètres supplémentaires par rapport aux Scorpène malaisiens. Cet allongement permettra de loger un équipage plus important et d'augmenter l'autonomie, avec des réserves supplémentaires pour les vivres et plus de soutes à carburant pour alimenter les moteurs diesels. Ainsi, les sous-marins brésiliens présenteraient une autonomie presque doublée par rapport aux unités précédemment réalisées par DCNS. Côté design, on pourra constater quelques différences, avec notamment un diamètre plus important de la coque. Les Brésiliens n'ont, en revanche, pas opté pour des barres en forme de croix de Saint-André. Côté propulsion, le choix d'un système de propulsion anaérobie n'a pas, non plus, été acté. C'est MTU qui a été retenu pour fournir 4 moteurs diesels d'une puissance unitaire de 600 kW pour chaque bâtiment. Le motoriste allemand avait déjà équipé les Scorpène malaisiens, son concurrent MAN ayant été choisi pour les Scorpène chiliens.
Très automatisés, les futurs sous-marins brésiliens pourront, au minimum, être conduits par un équipage d'une trentaine d'hommes. Dotés de tubes de 533mm, ils pourront mettre en oeuvre une vingtaine de torpilles lourdes et des missiles antinavire Exocet SM39.
Un programme à 6.7 milliards d'euros
En plus de ces bâtiments à propulsion conventionnelle, le programme brésilien comprend l'assistance technique française pour permettre aux Brésiliens de réaliser leur premier sous-marin nucléaire d'attaque. L'aide tricolore portera uniquement sur les parties non nucléaires du navire. Alors que les Brésiliens espèrent achever leur premier réacteur au milieu de cette décennie, la mise sur cale du SNA pourrait intervenir en 2016. Quant à l'admission au service actif, elle est aujourd'hui programmée en 2025.
Enfin, toujours dans le cadre des contrats signés en septembre dernier, DCNS apporte son assistance à la maîtrise d'ouvrage de la nouvelle base et du nouveau chantier naval édifiés à Sepetba. Pour mener à bien l'ensemble de ces projets, DCNS a constitué une société commune avec le groupe brésilien Odebrecht, qui détient 59% de cette joint venture, créée en août dernier et baptisée Itaguaï Construções Navais. Le coût global du programme, connu sous le nom de « PROSUB » au Brésil, est de 6.7 milliards d'euros, répartis entre DCNS et ses partenaires.
http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=113263
[Partie avant d]
Partie avant d'un Scorpène réalisé à Cherbourg
crédits : DCNS
27/05/2010
C'est aujourd'hui, sur le site DCNS de Cherbourg, que débute la construction du premier des quatre sous-marins commandés en septembre 2009 par le Brésil. A l'instar de ce qui a déjà été fait pour les Scorpène chiliens et malaisiens, la moitié avant du bâtiment sera réalisée en France puis transférée dans un autre chantier pour achèvement. Il s'agira, en l'occurrence, du nouveau site de Sepetba, à l'ouest de Rio, où la construction d'un chantier et d'une base navale a récemment débuté avec le soutien de DCNS, qui compte une équipe sur place. Pour Cherbourg, le projet représente 1 million d'heures de travail. Une fois la partie avant du sous-marin achevée, c'est-à-dire fin 2012, elle traversera l'Atlantique à bord d'un cargo pour être assemblée à la moitié arrière, réalisée par les Brésiliens. On notera d'ailleurs que ce contrat comporte un transfert de technologie très poussé, des équipements sensibles traditionnellement fournis par DCNS étant réalisés localement. En tout, quelques 130 ingénieurs et techniciens brésiliens devraient suivre la construction à Cherbourg avant de poursuivre le programme de l'autre côté de l'Atlantique. Alors que le premier bâtiment doit être livré en 2017, ses trois sisterships, entièrement construits à Sepetba, sont prévus pour être achevés en 2018, 2020 et 2021.
Un type dérivé du Scorpène
Longs de 75 mètres pour un déplacement de 2000 tonnes en plongée, Les sous-marins brésiliens sont dérivés du type Scorpène, précédemment commercialisé en coopération par DCNS et Navantia. Pour satisfaire aux besoins de la marine brésilienne, la taille des nouveaux bâtiments est plus importante, soit environ 9 mètres supplémentaires par rapport aux Scorpène malaisiens. Cet allongement permettra de loger un équipage plus important et d'augmenter l'autonomie, avec des réserves supplémentaires pour les vivres et plus de soutes à carburant pour alimenter les moteurs diesels. Ainsi, les sous-marins brésiliens présenteraient une autonomie presque doublée par rapport aux unités précédemment réalisées par DCNS. Côté design, on pourra constater quelques différences, avec notamment un diamètre plus important de la coque. Les Brésiliens n'ont, en revanche, pas opté pour des barres en forme de croix de Saint-André. Côté propulsion, le choix d'un système de propulsion anaérobie n'a pas, non plus, été acté. C'est MTU qui a été retenu pour fournir 4 moteurs diesels d'une puissance unitaire de 600 kW pour chaque bâtiment. Le motoriste allemand avait déjà équipé les Scorpène malaisiens, son concurrent MAN ayant été choisi pour les Scorpène chiliens.
Très automatisés, les futurs sous-marins brésiliens pourront, au minimum, être conduits par un équipage d'une trentaine d'hommes. Dotés de tubes de 533mm, ils pourront mettre en oeuvre une vingtaine de torpilles lourdes et des missiles antinavire Exocet SM39.
Un programme à 6.7 milliards d'euros
En plus de ces bâtiments à propulsion conventionnelle, le programme brésilien comprend l'assistance technique française pour permettre aux Brésiliens de réaliser leur premier sous-marin nucléaire d'attaque. L'aide tricolore portera uniquement sur les parties non nucléaires du navire. Alors que les Brésiliens espèrent achever leur premier réacteur au milieu de cette décennie, la mise sur cale du SNA pourrait intervenir en 2016. Quant à l'admission au service actif, elle est aujourd'hui programmée en 2025.
Enfin, toujours dans le cadre des contrats signés en septembre dernier, DCNS apporte son assistance à la maîtrise d'ouvrage de la nouvelle base et du nouveau chantier naval édifiés à Sepetba. Pour mener à bien l'ensemble de ces projets, DCNS a constitué une société commune avec le groupe brésilien Odebrecht, qui détient 59% de cette joint venture, créée en août dernier et baptisée Itaguaï Construções Navais. Le coût global du programme, connu sous le nom de « PROSUB » au Brésil, est de 6.7 milliards d'euros, répartis entre DCNS et ses partenaires.
http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=113263
"A reconquista da soberania perdida não restabelece o status quo."
Barão do Rio Branco
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Re: Programa de Reaparelhamento da Marinha
Os oceânicos, tudo indica que sim.alex escreveu:E os navios patrulhas oceanicos e fluvias? Sai esse ano?
Os fluviais, não sei.
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Re: Programa de Reaparelhamento da Marinha
Olha, neste ritmo de aquisição acho que veremos navios usados na MB sim,senhor.
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Re: Programa de Reaparelhamento da Marinha
Tudo indica que devem vir Type 22 Batch III e Type 42 Batch II
No total uns 6 navios.
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"I would rather have a German division in front of me than a French
one behind me."
General George S. Patton.
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Re: Programa de Reaparelhamento da Marinha
Duvido das Type 42. Estão muito surradas.
Seria um erro e a MB não cometeria este erro.
Seria um erro e a MB não cometeria este erro.
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Re: Programa de Reaparelhamento da Marinha
é melhor despacharem-se antes que os ingleses as afundem a todas
http://en.wikipedia.org/wiki/Type_42_de ... e_of_ships
por incrivel que pareça os do Batch 3 conseguem ser mais novos que algumas OHP
http://en.wikipedia.org/wiki/Type_22_frigateThe Type 22 Broadsword class is a class of frigate built for the Royal Navy. Fourteen of the class were built in total, with production divided into three batches. Four Batch 3 ships remain in service with the Royal Navy. Seven ships of the earlier batches have been sold for further service with Brazil, Romania and Chile, two have been sunk as targets and the other sold for scrapping.
http://en.wikipedia.org/wiki/Type_42_de ... e_of_ships
por incrivel que pareça os do Batch 3 conseguem ser mais novos que algumas OHP
Triste sina ter nascido português
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Re: Programa de Reaparelhamento da Marinha
Não virá mais lixo para a MB.
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Re: Programa de Reaparelhamento da Marinha
Este é o desejo de todos aqui no fórum, Comandante.
Porém a cada dia que passa é menos um dia de vida util não de um mas de vários navios da MB que devem ser retirados de serviço. A cada dia perdido o valor dos investimentos dos navios a serem construídos continua constante porém este valor deve ser gasto em prazo cada vez menor.
Como se resolve esta equação?
Porém a cada dia que passa é menos um dia de vida util não de um mas de vários navios da MB que devem ser retirados de serviço. A cada dia perdido o valor dos investimentos dos navios a serem construídos continua constante porém este valor deve ser gasto em prazo cada vez menor.
Como se resolve esta equação?
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Re: Programa de Reaparelhamento da Marinha
Brasil é prioridade
A Finmeccanica, maior grupo italiano no ramo aeroespacial e de defesa, aposta nos projetos militares de modernização de equipamentos para conquistar mercado
Lourenço Flores
Enviado especial
Finmeccanica/Divulgação
Roma — A Finmeccanica, o maior grupo italiano no setor aeroespacial e de defesa, decidiu transformar o Brasil em prioridade imediatamente. Oitava maior companhia mundial no setor — e com atuação crescente nas áreas de energia e transporte —, vê no país uma enorme oportunidade para crescer. O grupo não esconde que o acordo assinado entre Brasil e Itália em abril, que inclui a previsão de uma série de investimentos italianos no país, representa enormes chances de entrar em um dos poucos mercados mundiais hoje em crescimento acelerado e ainda não dominado pelas empresas norte-americanas do setor. O Brasil, que defende com unhas e dentes a necessidade de transferência de tecnologia nos projetos militares, resiste à postura dos EUA nessa questão, em geral pouco dispostos até a negociar essa possibilidade.
“Para nós, o Brasil é muito importante. O acordo entre Berlusconi e o presidente Lula abre muitas possibilidades, inclusive para a transferência de tecnologia, que seria impossível sem isso”, assegura o CEO do grupo Finmeccanica, Pier Francesco Guarguaglini. Embora não façam previsões nem de valores de investimentos nem de faturamento, os italianos querem entrar com todas as forças nos projetos de modernização das Forças Armadas, em particular no da Marinha, já que a concorrência FX-2, para a compra dos novos caças da Forca Aérea Brasileira (FAB), provavelmente será vencida pelos franceses, desbancando o sueco Grippen (que conta com uma série de componetes das empresas do grupo italiano).
Mesmo que o Rafale, da francesa Dassault, leve o contrato, a Finmeccanica já prevê a necessidade de modernização dos atuais aviões de treinamento, os Super Tucanos. Como os novos caças serão muito mais avançados, potentes e velozes, pertencentes à chamada 5ª geração, independentemente da empresa escolhida, a FAB necessitará de um avião de treinamento com uma menor distância de desempenho em relação aos novos aviões de combate para assegurar a capacitação dos pilotos. É aí que a Alenia Aermacchi, uma das integrantes do grupo, pretende entrar, oferecendo o M346, um avião de treinamento que pode até funcionar como um caça leve de combate.
Outra possibilidade é a concorrência que envolve a construção de novas fragatas para a Marinha brasileira, com a necessidade de fornecimento de sistemas de armamento e de defesa, bem como para a nova corveta da classe Barroso.
A Finmeccanica, maior grupo italiano no ramo aeroespacial e de defesa, aposta nos projetos militares de modernização de equipamentos para conquistar mercado
Lourenço Flores
Enviado especial
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Roma — A Finmeccanica, o maior grupo italiano no setor aeroespacial e de defesa, decidiu transformar o Brasil em prioridade imediatamente. Oitava maior companhia mundial no setor — e com atuação crescente nas áreas de energia e transporte —, vê no país uma enorme oportunidade para crescer. O grupo não esconde que o acordo assinado entre Brasil e Itália em abril, que inclui a previsão de uma série de investimentos italianos no país, representa enormes chances de entrar em um dos poucos mercados mundiais hoje em crescimento acelerado e ainda não dominado pelas empresas norte-americanas do setor. O Brasil, que defende com unhas e dentes a necessidade de transferência de tecnologia nos projetos militares, resiste à postura dos EUA nessa questão, em geral pouco dispostos até a negociar essa possibilidade.
“Para nós, o Brasil é muito importante. O acordo entre Berlusconi e o presidente Lula abre muitas possibilidades, inclusive para a transferência de tecnologia, que seria impossível sem isso”, assegura o CEO do grupo Finmeccanica, Pier Francesco Guarguaglini. Embora não façam previsões nem de valores de investimentos nem de faturamento, os italianos querem entrar com todas as forças nos projetos de modernização das Forças Armadas, em particular no da Marinha, já que a concorrência FX-2, para a compra dos novos caças da Forca Aérea Brasileira (FAB), provavelmente será vencida pelos franceses, desbancando o sueco Grippen (que conta com uma série de componetes das empresas do grupo italiano).
Mesmo que o Rafale, da francesa Dassault, leve o contrato, a Finmeccanica já prevê a necessidade de modernização dos atuais aviões de treinamento, os Super Tucanos. Como os novos caças serão muito mais avançados, potentes e velozes, pertencentes à chamada 5ª geração, independentemente da empresa escolhida, a FAB necessitará de um avião de treinamento com uma menor distância de desempenho em relação aos novos aviões de combate para assegurar a capacitação dos pilotos. É aí que a Alenia Aermacchi, uma das integrantes do grupo, pretende entrar, oferecendo o M346, um avião de treinamento que pode até funcionar como um caça leve de combate.
Outra possibilidade é a concorrência que envolve a construção de novas fragatas para a Marinha brasileira, com a necessidade de fornecimento de sistemas de armamento e de defesa, bem como para a nova corveta da classe Barroso.
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Re: Programa de Reaparelhamento da Marinha
Eu acho que a MB deveria sim investir no desenho da barroso.
Talvez criar uma classe partindo dela.
BBBB.
Boa, Barata, Bonita e BRASILEIRA.
Talvez criar uma classe partindo dela.
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Re: Programa de Reaparelhamento da Marinha
Marino
Na notícia da DCNS sobre o SBR fala em maior diâmetro.
Isto está certo? Pois se for assim teremos um novo projeto bem
mais pesado e com lemes em X.
Caso este site (Mer Et Marine) seja realmente bem informado nosso sub
será também armado com sistemas bem avançados.
Caso confirmado isto, houve tempo suficiente para já fechar este novo projeto
para ja se iniciar construção? E onde a Tot se os 130 eng. ainda irão para lá?
Ou já lá estão?
Abraços
Franz Luiz
Na notícia da DCNS sobre o SBR fala em maior diâmetro.
Isto está certo? Pois se for assim teremos um novo projeto bem
mais pesado e com lemes em X.
Caso este site (Mer Et Marine) seja realmente bem informado nosso sub
será também armado com sistemas bem avançados.
Caso confirmado isto, houve tempo suficiente para já fechar este novo projeto
para ja se iniciar construção? E onde a Tot se os 130 eng. ainda irão para lá?
Ou já lá estão?
Abraços
Franz Luiz