Fórum Defesa Brasil

Carlos Lima escreveu:É aquele cabo de força o que é normal para qualquer empresa tentando garantir empregos e participação em um projeto desse tamanho.

O mesmo aconteceria no Brasil se o SHornet ganhar e se por algum motivo a FAB querer passar uma parcela grande do trabalho para a Avibrás e a Embraer (que é amiguinha da Boeing) se sentir prejudicada.

[]s
CB_Lima

Carlos Lima escreveu:Eles fazem um pouquinho mais do que o setor Químico e petroquímico...

http://en.wikipedia.org/wiki/Reliance_A ... bani_Group

Mas tudo bem

[]s
CB_Lima

Carlos Lima escreveu:

Mas para saber disso você tem que saber quais são as tecnologias que estão envolvidas no "não colou".

Acho díficil afirmar com tanta convicção sem saber de todos os detalhes.

Usando essa "lógica" até a construção de submarinos no Brasil será comprometida porque não existe uma empresa nacional construtora de submarinos.

Realmente faz parte do jogo.

[]s
CB_Lima

Opération Serval - 9 h 35 en vol

Un Rafale s’envole de N’Djamena au Tchad pour le Mali. Photo AFP

L’état-major de l’armée de l’Air a eu 48 heures pour préparer la première opération offensive des Rafale contre les djihadistes au Mali. Mission réussie.
L’armée de l’air a frappé un grand coup dimanche matin. « Une très belle mission. Peu d’armées sont capables de mobiliser un tel dispositif en un temps si court », débriefe le chef d’état-major de l’Armée de l’air, Denis Mercier.
Pour leur entrée dans le dispositif Serval au Mali, les Rafale ont détruit un camp d’entraînement, des postes de stockage de matériel et des bâtiments de logistique du groupe islamiste Mujao à Gao et Taoussa. Mission réussie.

Type de frappes validé
La préparation de l’opération a nécessité la mobilisation de tous les moyens de l’armée de l’air durant 48 heures.
Vendredi matin, anticipant les décisions politiques, l’état-major de l’Armée de l’air commence à mettre en alerte toutes ses bases où se trouvent des Rafale, c’est-à-dire aux Émirats Arabes Unis, à Mont-de-Marsan (Landes) et Saint-Dizier (Haute-Marne). En fin de soirée, le raid pour un bombardement de sites djihadistes est confirmé. Il partira de la base aérienne 113 de Saint-Dizier. Peu avant minuit, le type de frappes est validé. Toute la journée de samedi sera consacrée à équiper et armer quatre Rafale de la base de Saint-Dizier. Deux autres avions, arrivés de Mont-de-Marsan, sont prévus dans le dispositif pour pallier un éventuel problème technique de l’escadrille de Saint-Dizier. Samedi après-midi, tout s’accélère. Vers 13 h, les quatre premiers objectifs sont présentés aux pilotes. Ils travaillent sur la stratégie de la mission à partir d’images des cibles prises par des avions d’observation Atlantique 2, et par le système satellitaire Pléiade. Les pilotes étudient leurs plans de route, choisissent leurs armements… Vers 18 h, le décollage est programmé pour le lendemain 7 h. Les dernières heures vont connaître un rebondissement. À 22 h 30, deux nouveaux objectifs sont fixés. Les pilotes en prendront connaissance, après quatre heures de repos, à leur retour sur la base. Il est alors 3 h 30 dimanche matin. Finalement, ils s’envoleront vers 7 h 30.
La mission va durer 9 h 35. Cinq ravitaillements en vol assurés par des avions transporteurs C135 seront nécessaires tout au long de la mission, qui se finira sur l’aéroport de N’Djamena, au Tchad. Les attaques sur Gao sont rapides et par vagues successives de deux avions. À Taoussa, la stratégie est différente : une attaque « compressée » des quatre avions.
Toute l’opération sera suivie en direct depuis le PC de commandement opérationnel de l’état-major de l’Armée de l’air à Paris et le Centre national des opérations aériennes à Lyon.

Justin Case escreveu:Amigos,

Nove horas e trinta e cinco minutos de missão de guerra, solo em um Rafale.
http://www.lalsace.fr/actualite/2013/01 ... -35-en-vol

Opération Serval - 9 h 35 en vol

Un Rafale s’envole de N’Djamena au Tchad pour le Mali. Photo AFP

L’état-major de l’armée de l’Air a eu 48 heures pour préparer la première opération offensive des Rafale contre les djihadistes au Mali. Mission réussie.
L’armée de l’air a frappé un grand coup dimanche matin. « Une très belle mission. Peu d’armées sont capables de mobiliser un tel dispositif en un temps si court », débriefe le chef d’état-major de l’Armée de l’air, Denis Mercier.
Pour leur entrée dans le dispositif Serval au Mali, les Rafale ont détruit un camp d’entraînement, des postes de stockage de matériel et des bâtiments de logistique du groupe islamiste Mujao à Gao et Taoussa. Mission réussie.

Type de frappes validé
La préparation de l’opération a nécessité la mobilisation de tous les moyens de l’armée de l’air durant 48 heures.
Vendredi matin, anticipant les décisions politiques, l’état-major de l’Armée de l’air commence à mettre en alerte toutes ses bases où se trouvent des Rafale, c’est-à-dire aux Émirats Arabes Unis, à Mont-de-Marsan (Landes) et Saint-Dizier (Haute-Marne). En fin de soirée, le raid pour un bombardement de sites djihadistes est confirmé. Il partira de la base aérienne 113 de Saint-Dizier. Peu avant minuit, le type de frappes est validé. Toute la journée de samedi sera consacrée à équiper et armer quatre Rafale de la base de Saint-Dizier. Deux autres avions, arrivés de Mont-de-Marsan, sont prévus dans le dispositif pour pallier un éventuel problème technique de l’escadrille de Saint-Dizier. Samedi après-midi, tout s’accélère. Vers 13 h, les quatre premiers objectifs sont présentés aux pilotes. Ils travaillent sur la stratégie de la mission à partir d’images des cibles prises par des avions d’observation Atlantique 2, et par le système satellitaire Pléiade. Les pilotes étudient leurs plans de route, choisissent leurs armements… Vers 18 h, le décollage est programmé pour le lendemain 7 h. Les dernières heures vont connaître un rebondissement. À 22 h 30, deux nouveaux objectifs sont fixés. Les pilotes en prendront connaissance, après quatre heures de repos, à leur retour sur la base. Il est alors 3 h 30 dimanche matin. Finalement, ils s’envoleront vers 7 h 30.
La mission va durer 9 h 35. Cinq ravitaillements en vol assurés par des avions transporteurs C135 seront nécessaires tout au long de la mission, qui se finira sur l’aéroport de N’Djamena, au Tchad. Les attaques sur Gao sont rapides et par vagues successives de deux avions. À Taoussa, la stratégie est différente : une attaque « compressée » des quatre avions.
Toute l’opération sera suivie en direct depuis le PC de commandement opérationnel de l’état-major de l’Armée de l’air à Paris et le Centre national des opérations aériennes à Lyon.

Ergonomia e automatização certamente fazem diferença.
Não é aviãozinho para duas horas de voo.
Abraços,

Justin

22 de Agosto, 2003 - 12:00 ( Brasília )
Aviação

FAB - Capacidade estratégica comprovada

A missão, que teve início às 7h15, 22AGO02, em Santa Maria (RS), sobrevoou a Região Centro-Oeste, contornou o Cabo Orange, Estado do Amapá, e chegou, por fim, à Natal (RN), teve a duração de dez horas de vôo, sem escalas, e percorreu cerca de 6.800 Km.
22 Agosto 2003

O vôo de longa duração da Força Aérea Brasileira, realizado com duas aeronaves A-1 do Terceiro Esquadrão do Décimo Grupo de Aviação (3°/10° GAV), Esquadrão Centauro, da Base Aérea de Santa Maria (RS), foi um sucesso. Chegou hoje (22/08) em Natal, exatamente no horário previsto: às 17h15.

Na chegada, as aeronaves foram interceptadas por outros dois A-1 da mesma Unidade, que fizeram passagens sobre o Forte dos Reis Magos e sobre a pista de pouso. Logo no desembarque os pilotos concederam entrevista para a imprensa, e foram recepcionados por integrantes das Unidades Aéreas da Base Aérea de Natal (1°/4° GAV e 2°/5° GAV), por um médico do Esquadrão de Saúde, pelo Comandante da BANT e também pelo Chefe do Centro de Comunicação Social da Aeronáutica (CECOMSAER).

A missão, que teve início às 7h15 em Santa Maria (RS), sobrevoou a Região Centro-Oeste, contornou o Cabo Orange, Estado do Amapá, e chegou, por fim, à Natal (RN), teve a duração de dez horas de vôo, sem escalas, e percorreu cerca de 6.800 Km. Em termos comparativos, esta distância corresponde, por exemplo, aos trechos Paris-Moscou-Paris ou Roma-Bagdá-Roma.

Para cumprir esse longo percurso, os A-1 foram reabastecidos em vôo, três vezes, por uma aeronave KC-137 (Boeing 707) do Segundo Esquadrão do Segundo Grupo de Transporte (2°/2° GT), Esquadrão Corsário, da Base Aérea do Galeão (RJ). A missão estava planejada para ser executada com dois KC-137, mas um deles foi deslocado para a Suiça, com a finalidade de transportar o corpo do diplomata brasileiro Sérgio Vieira de Mello, representante da ONU no Iraque.

O objetivo desse vôo de longa duração é o de avaliar a capacidade das equipagem de combate e da aeronave A-1 de cumprirem missões de cunho estratégico.

A capacidade de cumprir missões estratégicas é uma característica de grande interesse para as forças aéreas no mundo de hoje e o A-1, que é uma aeronave estratégica, concebida e produzida no Brasil pela EMBRAER, está comprovadamente aprovado nesse perfil de vôo.

Nota Defesanet-- A operação realizada pela FAB segue o padrão atual de missões de longa duração. Ações das forças de coalizão no Afeganistão tinham como um tempo médio de 7 a 10 horas de vôo. Incluindo, como na atual missão várias operações de reabastecimento em vôo ( REVO).

Como comparativo está indicado no mapa as missões já realizadas com caráter estratégico por aviões A-1 (AMX). Na Operação Querari (1999), partindo do Rio de Janeiro atingiram a Cabeça do Cachorro. Na OPERAER (NOV2002) a média de horas de vôo em missão já era de 3 a 4 horas para os aviões com capacidade de reabastecimento.

saullo escreveu:Eu só não entendo o porque de não operar a partir da capital, Bamako, já que pelo menos a capital deve ter uma pista e estrutura para receber o Rafale.

Abraços

saullo escreveu:Eu só não entendo o porque de não operar a partir da capital, Bamako, já que pelo menos a capital deve ter uma pista e estrutura para receber o Rafale.

Abraços

sapao escreveu:

saullo escreveu:Eu só não entendo o porque de não operar a partir da capital, Bamako, já que pelo menos a capital deve ter uma pista e estrutura para receber o Rafale.

Abraços

O problema não é só a infraestrutura Saullo, mas também a segurança.

Um tiro de fuzil coloca fora de combate um caça no solo, não importa quão moderno ele seja. Se o perimetro de segurança não puder ser garantido, vale mais a pena operar de longe.